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Les avis des lectrices sur ses livres
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J'ai adoré ce roman que j'ai lu en 48h à peine! C'est un excellent roman historique, bien documenté avec de nombreux personnages. On est vraiment plongé dans l'histoire dans tous les sens du terme. Les personnages sont très bien construits. En revanche, Meg agace presque à douter en permanence et à s'enteter. Mais bon cela reste une très belle histoire d'amour pleine de rebondissements et d'actions. C'est vraiment le genre de roman historique que j'aime ! Peut -être un petit regret quand même que les scènes d'amour se limitent à chaque fois à une ligne :)
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http://leslecturesdeveralice.blogspot.com/ Jolie couverture et résumé engageant...
Et j'ai plutôt bien aimé le tome 1.
Eh bien que "la force de la passion" les emporte au loin, ces deux héros-là, le plus loin possible, même,et je dirai "bon vent"... tant je suis exaspérée.
Le credo d'Amelia, répété à peu près toutes les cinq pages...
I WANT TO HELP ("Je veux aider.")
I AM WORRIED ABOUT YOUR CHILDREN ("Je m'inquiète pour vos enfants.")
ARE YOU IN DANGER? ("Etes-vous en danger?")
... a vite fini par me hérisser.
J'avais l'impression de lire les aventures d'un Saint-Bernard (en plus, on peut imaginer le tonneau, elle aime bien boire son petit alcool le soir avant de se coucher. Quant à lui, il ne dirait pas non). Mais un Saint-Bernard en mode carpette, en plus, prête à tout accepter de cet homme qui l'a abandonnée sans un mot, comme un sacré goujat, dix ans auparavant. Et elle, bonne pomme, elle accourt au retour du héros ténébreux -> le fameux "I Want To Help".
Le héros ne relève pas non plus le niveau, à vrai dire : pleutre qui passe son temps à pleurer (bon d'accord, il est traumatisé par la prison française et la guillotine), mais aussi mari lâche qui n'a pas hésité à abandonner sa femme (ben c'était un mariage de raison, quoi??) et ses enfants (mais lui, son crédo, "LES ENFANTS D'ABORD", tombe à plat, sachant qu'il a du les voir cinq fois au cours de leur vie), égoïste et sans parole. Il n'a pas arrêté de se défiler et je n'ai toujours pas bien compris ce qu'il ressentait pour Amelia . Qu'est-ce qui peut le rattraper? Euh... J'y réfléchis encore.
Bon, énervée, déçue, voilà, c'est dit, mais c'est pour la bonne cause : il faut avoir lu de ces romans qui vous hérissent le poil pour mieux apprécier les divines friandises que l'on est parfois amenées à savourer ! Or celui-ci, dans le genre, ne m'a pas laissée indifférente (c'est déjà ça). [ + ] -
Dans ce roman, nous faisons la rencontre de Meg qui doit épouser un anglais alors qu’elle les déteste. C’est son oncle qui a choisi son futur époux car ses parents ne sont plus de ce monde. Elle se dit qu’elle doit être loyale à sa famille et donc accepter ce mariage. Cependant, les choses ne se passent pas comme prévu et le château dans lequel elle vient d’arriver – et qui est celui qu’elle va offrir en dot à son mari – se retrouve attaqué et c’est le loup des highands,Alex MacDonald, qui mène cette armée. Il gagne rapidement cette bataille et s’empare du château et de la demoiselle mais il ne se montre pas aussi « méchant » qu’elle ne le pensait et surtout il la respecte. A partir de ce moment là, notre héroïne ne va plus savoir quoi penser et surtout elle s’attache et s’inquiète pour ce loup qu’elle devrait le détester de tout son être.
Clairement c’est une excellente romance historique que nous offre ici la collection Victoria. Je ne crois pas qu’on nous précise que les hommes portent le kilt mais ce n’est pas dérangeant du tout même si j’aime ça. En effet, ici, on retrouve vraiment tous les éléments que j’adore dans une romance avec des highlanders sauf le vêtement. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant et je n’avais pas envie d’abandonner ma lecture.
L’histoire débute rapidement avec Meg qui arrive dans le château qui était jadis celui de sa mère et celui qu’elle va offrir à son futur mari. Très vite, ce dernier est attaqué par Alexander et nous avons donc une rencontre entre nos deux héros. On se rend compte que même si Meg n’a que 17 ans, elle fait preuve d’énormément de courage pour une jeune femme. Elle n’hésitera pas à tenir tête à Alexander alors qu’il a l’air vraiment effrayant. Je l’ai admiré pour cela. En ce qui concerne Alexander, c’est clairement un personnage que j’ai adoré car il n’est pas si méchant qu’on ne peut l’imaginer surtout quand il s’agit de Meg. Après, avant tout, il est guerrier et il le dit lui même.
Nous avons évidemment de la Romance dans cette histoire mais celle-ci prend du temps pour s’installer et je trouve que c’est une très bonne chose. Nos deux protagonistes ne tombent pas immédiatement dans les bras l’un de l’autre surtout parce que Meg s’y refuse et cela apporte du réalisme à l’histoire. De plus, ils sont assez souvent séparés par de nombreux péripéties et ça apporte un vrai rythme au récit.Dans cette lecture, j’ai beaucoup aimé l’aspect politique et notamment la guerre entre le roi d’Angleterre et le roi d’Ecosse. L’auteure a pris soin de nous offrir un vrai contexte historique et cela rend l’histoire encore plus puissante et captivante. C’est vraiment quelque chose que j’ai apprécié et même adoré.
Personnellement j’ai trouvé que c’était vraiment très bien écrit. La plume de cette auteure est vraiment très agréable. Le roman est assez narratif mais il y a quand même pas mal de dialogues et j’ai vraiment enchaîné les chapitres. Si je devais critiquer une seule chose dans ce roman, c’est peut-être que je trouve que les choses s’accélèrent un peu trop vite à la fois. Pendant un moment, je me suis demandée si nous n’allions pas avoir un second tome… Et puis les faits se sont enchaînés trop vite pour moi comme si l’auteure devait boucler son intrigue en un certain nombre de pages. C’est un petit peu dommage car je suis certaine que les héros avaient encore pas mal de choses à nous raconter et qu’on ne se serait pas ennuyé.
Pour résumer et conclure ma chronique sur « Le loup des highlands », cette romance historique est une belle surprise même si j’aurais apprécié un second tome pour terminer l’intrigue. J’ai adoré les personnages et le courage de Meg qui m’a évidemment fait penser à Aliénor dans « Combat d’Amour » de Loraline Bradern. Je suis tombée sous le charme d’Alexander. J’ai adoré le contexte historique très riche et la plume de Brenda Joyce.
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A propos de Le meilleur de la romance historique : Régence
Posté par clemence s le 04/12/2019 à 09:41
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Très belle histoire d'amour entre Devlin et Virginia, le roman est trés bien écris, on ne s'ennuie pas c'est super captivant et passionant. Plusieurs personnages sont géniaux, attachant, en somme c'est un roman agréable. J'aurais pu le lire sans interruption mais j'ai des enfants en bas age. Et malgré tout le mettissage dans ma famille, je reste descendante d'esclave noir il y a des passages qui m'ont déplu.
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http://leslecturesdeveralice.blogspot.com/ Lorsque Dominic Paget, comte de Bedford, membre de la très haute et très puissante aristocratie anglaise, croise la route de Julianne Greystone, fille d'un hobereau de province, aux convictions jacobines affirmées, en 1793, il y a peu de place pour le badinage, la légèreté, l'humour ou le batifolage. Tout dans ce roman se lit à travers les répercussions d'un contexte historique lourd, âpre, et sanguinaire. Pas de concession romantique, les héros ne se font pas de cadeau, se jouent d'eux-mêmes, se trahissent, se heurtent, ancrés dans leurs déterminismes politiques et sociaux. J'ai d'ailleurs pensé, lors de ma lecture, au roman d'Anne Stuart, dont une partie du très sombre et haletant roman, Séducteur sans scrupule, se déroule à la même époque.
Comme l'écrit Brenda Joyce, c'est l'histoire de "deux amants séparés par la politique et la guerre. Lui, un prince, elle, une terne fille de la campagne..".
Le roman se lit sans ennui, en tension, mais plus une tension romanesque qu'une tension romantique. Si ces deux amants-là partagent, au-delà des impératifs de leurs convictions et de leurs engagements, une flamme peu commune, leur histoire d'amour a manqué, selon moi, un peu d'envergure, de démesure ou de folie, étouffée qu'elle est sous le boisseau de l'histoire.
Les scènes d'amour sont d'ailleurs à peine esquissées - à tel point que je me suis demandée s'il n'y a pas eu des coupures à la traduction -, et le dénouement, très rapide, m'a carrément laissée sur ma faim - après un nombre aussi important de rebondissements et de retournements de situation, il m'a en effet paru bien plat et un rien convenu.
Toutefois, il n'occupe que quelques pages et le roman dans son ensemble garde tout son intérêt, ne serait-ce que pour ses qualités d'écriture et l'interprétation romanesque du contexte, l'avènement de la Terreur en France - ainsi que sur ses répercussions en Angleterre...
J'aime beaucoup les romans qui se passent à cette époque, ils sont assez rares pour être remarqués. Donc si c'est aussi votre cas, ne boudez pas votre plaisir ! [ + ] -
http://leslecturesdeveralice.blogspot.com/ La belle comtesse Evelyn d'Orsay, anglaise mariée très jeune à un aristocrate français, vit depuis quatre ans en Cornouailles. Surprotégée par son époux et entièrement dévolue à son foyer et à sa fille, elle se retrouve bien démunie lorsque le Comte d'Orsay meurt des suites d'une longue maladie. Son unique espoir, estime-t-elle alors, réside dans l'aide de Jack Greystone, le contrebandier qui les a aidés à fuir la France révolutionnaire.
Jack, un aventurier solide comme un roc, un farouche contrebandier amoureux fou de la mer et épris de dangers, se veut libre de toute attache. Cette femme, si belle soit-elle, ne l'enchaînera certainement pas. Ni son sens du devoir, ni ses instincts de protection ne lui font entendre raison. Il se méfie d'elle comme de la peste. Mais Evelyn, aidée par un oncle soucieux de son avenir, parvient à obtenir son aide. Or dans cette époque mouvante, assombrie de dangers et de ùmensonges, les jeux de l'espionnage et de la guerre contre les Français républicains vont empêcher les deux amants de vivre pleinement leur histoire, surtout que Jack reste froid et distant.
Me voici donc arrivée au bout de ma lecture et ma question est la suivante : pourquoi Brenda Joyce n'aime-t-elle pas ses héroïnes?
En voici encore une, et à la suite de celle du tome précédent, cela commence à faire beaucoup, que j'aurais bien secouée comme un prunier en lui demandant de bien vouloir se remuer un peu. Evelyn est un petit modèle de très jolie jeune femme, qui a vécu une enfance difficile, à la mode Cendrillon. On pourrait croire qu'elle en serait sortie aguerrie et prête à croquer la vie à pleines dents, puisqu'elle est désormais Comtesse d'Orsay, peu fortunée, certes, mais qui a bien profité de la vie ces dernières années.
Et bien pas du tout. Evelyn passe son temps à s'inquiéter, à larmoyer, à pleurnicher, à se morfondre et à compter ses sous. Elle ne cesse de crier à tout vent "moi, moi, moi", car l'alibi de la fille est bien transparent, jusqu'à se montrer parfois d'une bêtise et d'une naïveté à pleurer. Jack est un contrebandier, ET un espion, habitués depuis de nombreuses années à cotoyer le danger. Cela lui met-il la puce à l'oreille? Que nenni ! Jack est ce qu'il paraît être, un vilain méchant. Jack la bat froid et le repousse. Mais il part en France pour ses beaux yeux, craque et la met dans son lit, et ne cesse de vouloir la prémunir du danger. Mais Jack est un fripon qui ne l'aime pas du tout, du tout, bouh, le pas gentil... Jack se bat pour un idéal. Mais, brouhh, que la guerre est dangereuse et vilaine. Mieux vaut rester chez soi à soigner ses massifs...
Bref, vous l'aurez compris, j'ai eu du mal avec l'héroïne.
Et aussi avec le fait que les scènes d'amour sont, encore une fois, à peine effleurées : on se croirait dans un Harlequin des années 80. Avec quelques longueurs par là-dessus...
Et c'est grand dommage, car le héros a beaucoup de charisme, malgré sa froideur et sa résistance. Il a un vrai caractère et ne se laisse pas traiter comme une serpillière. Par contre, il ne rêve que de... protéger la si belle Evelyn, car elle éveille en lui tous les côtés très mâles de sa virilité, même s'il s'en défend. C'est d'ailleurs à peu près la seule qualité qu'il lui trouve... euh, sa fragilité ! Et sa beauté, évidemment !
Par contre, le background historique est très cohérent et sûrement bien documenté. Brenda Joyce a su recréer l'atmosphère délétère et dangereuse de l'époque, peuplée d'espions et tendue par les événements de la future guerre de Vendée. Dommage que le héros s'en lave finalement les mains, son investissement politique (à noter, on est du côté anglais, donc royaliste, mettez votre mouchoir sur vos idéaux républicains) est balayé par les violences auxquelles il assiste à la fin de l'aventure. Bon, on est dans un Harlequin, il fallait bien que le héros accepte de rentrer au bercail.
Pour résumer, si vous aimez, comme moi, cette période révolutionnaire, vraiment très rare dans les romances, prenez le temps de découvrir ce titre. Apprécier, ou non, l'héroïne, est purement subjectif, et ce dernier tome peut plaire, j'imagine. [ + ] -
Virginia apprend que son oncle projette de vendre Rosewood, la plantation familiale incendiée pendant la guerre de Sécession. Ni une ni deux, et refusant de se séparer de la maison de son enfance, elle embarque pour l’Angleterre avec l'espoir de convaincre son oncle de renoncer à son projet. Mais rien ne se passe comme prévu, car son navire est attaqué par le redoutable corsaire, Devlin.
Virginia est une jeune femme de dix-huit ans, qui est loin d'être une jeune femme comme le veut l'époque, elle a un caractère bien trempé et sait ce qu'elle veut. Elle m'a immédiatement séduite par son caractère et sa volonté à mettre tout en œuvre pour atteindre son objectif et ce n'est pas Devlin qui dira le contraire.
Notre héros, lui est un jeune homme qui est assez dure, arrogant, qui s'est forgé une réputation à faire pâlir bien des pirates et car à celui qui se trouve sur son chemin, d'ailleurs, il est surnommé le pirate de sa majesté, d'ailleurs, on comprend son comportement dû à ce qui nous est révélé dès le début de l'histoire. Mais au fils des pages, on ressent très bien, le combat intérieur, qu'il mène pour garder son objectif même si par moment, j'ai eu envie de lui dire, mais bon sens prend enfin la décision qui s'impose et ouvre les yeux, car il faut bien dire que les étincelles sont bien présente entre nos deux héros. Qui flanchera le premier ?[ + ]
Une très belle romance historique qui m'a charmé, stupéfaite, envoûté, happé, attendris, qui m'a fait passer un très très bon moment de lecture, moi qui suis fan de ce type de romance, je n'ai pu qu'être séduite par l'histoire de ses deux héros qui ont eu ce petit quelque chose qui m'a littéralement pris dans leur filet tel une araignée tissant sa toile. Je n'ai pu qu'avoir un coup de cœur pour cette sublime et féerique histoire. -
A propos de Le meilleur de la romance historique : Régence
Posté par clemence s le 05/07/2016 à 09:19
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Une Romance historique plutôt mouvementée de par le caractère assez autoritaire du héros et qui malmène quelque peu l'héroïne. Stephen est un homme froid, élevé dans l'idée que rien n'est plus important que le titre et son comportement s'en ressent clairement. Il peu paraître antipathique à certains égards. L'héroïne manque un peu de caractère à mon goût, ayant un peu trop le goût du sacrifice. Mais l'histoire est prenante et se lit agréablement.
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